François Charron
[Existe-t-il une porte si profonde qu’elle ne vienne]
Existe-t-il une porte si profonde qu’elle ne vienne
jamais à la surface
Je ne me souviens que de la beauté surprenante des regrets.
Le pourquoi arrivera plus tard en serrant les dents.
Pour le moment je brandis la ficelle noire de l’apparition
dominante.
C’est le regret d’un appauvrissement parfait au fond duquel
on joue la scène.
Sans doute suis-je déjà lointain en tous cas il est évident
qu’on ne me l’a jamais appris.