Mario Brassard
L’ATTENTE, L’ATTENTAT
Le temps d’une minute laissée seule
La cendre monte jusqu’aux genoux
En une route encore chaude de ses chevaux
Aujourd’hui s’ajoute à la liste des fumées
Les sabots pointés vers le ciel
Fuir par ce qu’on appelait des jambes
L’araignée d’eau devenue araignée de glace
Fuir l’arrivée des premières mouches