Dorothée Volut
[Et l’amour de cet arbre...]
Et l’amour de cet arbre dont je suis tombée
fait des anses
plus haut des forces, des principes
je suscite l’écoulement comme si je n’étais pas en lui
– plus bas, disent les anges
mais ton nom continue d’être dit
des guêpes migrent dans mes cheveux comme des dieux muets
que tu me dépossèdes, ou t’en ailles ou ne m’appartiennes pas
Page, sans que je te regarde, je te perçois
tu es la vraie colombe
à laquelle je frotte le monde