François Charron
[Puissance des yeux qui s’ouvrent sans retour les soupirs]
Puissance des yeux qui s’ouvrent sans retour les soupirs
répétés par groupe de cent milles s’agglutinent autour.
Le vent à n’en plus finir dans mes pieds en vérité mes
souvenirs se couchent sur le sol ardent de l’air.
Désirs oui désirs une source la peur de ne plus être il eût
fallu à propos de l’eau ou simplement à peine la
nommer.
Et le signe de sa présence jusqu’à la frontière avez-vous
déjà pleuré par haine de l’espace.
Il semble que j’aie besoin de vous seul derrière ma voix
je me retourne je n’ai plus rien et je suis riche.
Les sortilèges se dégagent de nouveau par autosuggestion
les bras croisés sans bouger je demeure avec 1,2,3,4,5,6,
7,8,9,10.