François Charron
[Le cimetière des commencements n’est ni je ni l’autre]
Le cimetière des commencements n’est ni je ni l’autre
son regard s’éclaire brutalement d’une même origine.
Inutile de déchirer quoi que ce soit vous aurez eu la
fortune de voir le monde du temps qu’il était visible.
Les couleurs copient le peintre nous étions l’enfermement
premier nous nous sauvions de partout à l’intérieur.
Délicieusement de retour la vérité intolérable pour ne pas
désespérer il s’arrête pour compter son argent.
De manière à ce que les symboles de l’ombre et les
mensonges de la prière s’infiltrent toujours
assez en nous.
Et il n’y eut pas de présentation vous avez perçu le
présent de la tête aux pieds cela il le faut le supporter
sans préservatif.